La communication d’une entreprise
Comme disait Sénèque, “Il n’y a pas de vent favorable, pour celui qui ne sait pas où il va”.
Établir vos Missions, votre Vision et vos Valeurs est essentiel pour vous faire comprendre de vos partenaires et clients.
Mission
La mission d’une entreprise correspond à sa raison d’être, il s’agit de son ADN : pourquoi l’entreprise existe-t-elle ? Il ne faut pas expliquer le métier exercé ou les objectifs à atteindre, mais simplement définir pourquoi l’entreprise est créée. La mission porte sur le présent, c’est-à-dire la situation actuelle de l’entreprise.
Pour déterminer la mission de votre entreprise, vous devez absolument vous focaliser sur les éléments suivants : qu’est-ce que l’entreprise propose ? À qui ? Quel est l’impact ? Par exemple : « Développer des outils d’aide à la décision pour permettre aux entreprises de réaliser des économies ».
Vision
La vision décrit ce qui se passe lorsque vous accomplissez votre mission, elle donne la direction. Elle permet la création d’une vraie image de marque, une communication claire et de mobiliser et motiver les gens à suivre cette vision et à défendre la mission.
Contrairement à la mission, qui porte sur le temps présent, la vision d’une entreprise est une projection dans le futur. La vision encourage l’entrepreneur à se surpasser pour atteindre des objectifs ambitieux à long terme. Ici, il s’agit donc de vous préoccuper de l’avenir de votre future entreprise : où voulez-vous aller (à long terme) ?
Votre vision d’entreprise impactera vos décisions dès le début, car vos actions serviront à bâtir et développer votre future entreprise. Bien entendu, le degré d’ambition associé à un projet dépend de sa nature.
La vision d’une entreprise peut être amenée à évoluer dans le temps, notamment avec l’évolution de la technologie, du contexte ou encore des opportunités de développement qui se présenteront dans le futur (mais qui demeurent encore insoupçonnées aujourd’hui).
Pour rédiger votre vision d’entreprise, vous devez simplement répondre à la question suivante : comment imaginez-vous votre entreprise dans le futur lointain (10 ans, 15 ans, 20 ans) ?
Votre vision doit être ambitieuse, précise et cohérente avec la mission de l’entreprise ainsi que ses valeurs. Sa définition doit tenir en une seule phrase. Par exemple : « Être le producteur de tomates le plus rentable de Bretagne » ou « construire les logements les plus écologiques en France ».
Valeurs
Les valeurs d’une entreprise ont une influence sur sa manière de travailler et de communiquer. C’est en fait la culture d’entreprise.
Pour déterminer les valeurs de votre entreprise, vous devrez faire appel à la mission et à la vision que vous avez développées, mais aussi aux valeurs individuelles qui animent les parties prenantes de la création de la société. L’entrepreneur seul aura naturellement tendance à définir pour son projet entrepreneurial des valeurs qui sont proches de celles qu’il défend à titre personnel.
Connaître les valeurs d’une société c’est connaître sa raison d’être, son essence même. C’est ce qui va permettre d’orienter l’activité de l’entreprise. Les principes sont à l’origine du processus de création. Ils permettent aussi d’attirer les clients qui se reconnaissent dans cette identité. Elles doivent donc être en cohérence avec les actions internes comme externes de toute société.
C’est pourquoi il est primordial de posséder une identité d’entreprise et de véhiculer les principes de celle-ci.
Conclusion MVV
Le trio mission-vision-valeurs est utilisé en marketing pour représenter les 3 éléments clés de la stratégie d’entreprise. Il s’agit d’une carte, ou d’un schéma. Définir cela permet de cerner ce que vous voulez faire et comment le faire, ainsi que ce que vous souhaitez transmettre et à qui le transmettre.
Il s’agit d’un travail essentiel à faire dès la création de l’entreprise qui permettra d’établir toute votre communication. Vos supports de communication vont être basés sur cela.
Cela permet à vos partenaires, fournisseurs, clients… de comprendre qui vous êtes et ce que vous faites. Plus le message est clair et plus il est facilement assimilable, on préfère tous lire sur un support clair plutôt que de déchiffrer des hiéroglyphes.
Cela démontre aussi une certaine forme de professionnalisme que de savoir bien communiquer et appuie le sérieux de la société.
Le brand book
Un brand book est un document qui contient l’ensemble des règles liées à votre marque et son identité visuelle. Il est à faire après le travail de MVV.
Il permet de donner une cohérence à la marque et à votre entreprise, en interne comme en externe (agences, partenaires, clients, médias).
Il vous permet de créer une véritable cohésion de marque, sur l’ensemble de vos supports de communication. Votre message est cohérent et votre logo et ses déclinaisons sont contrôlés en gardant une uniformité en externe. Il va également reprendre tous les éléments du MVV.
Votre branding définit l’identité et la personnalité de votre entreprise. Le brand book est là pour raconter cette histoire, en y incluant les principaux protagonistes : votre logo, votre charte graphique, la typographie, les icônes et tous les éléments visuels associés.
Votre marque ne se limite pas à son logo. La façon de vous adresser à vos clients, la manière de répondre au téléphone, le vocabulaire à employer, les illustrations et autres éléments graphiques à utiliser, vos principes et la vision de l’entreprise sont autant d’indispensables à inclure dans votre brand book. Ils représentent la personnalité de votre marque. Quelle histoire voulez-vous raconter à vos clients (et futurs clients) ? C’est justement l’objectif de votre brand book.
Un brand book est donc indispensable pour expliquer :
- Comment s’articule votre identité visuelle ?
- Quelles sont les typographies et les couleurs à utiliser ?
- Comment bien utiliser votre logo ?
- Dans quel univers graphique s’inscrit votre marque ?
Le brand book est également stratégique, puisqu’il couvre tous les aspects de votre marque :
- Comprendre le positionnement de votre marque
- Unifier votre message en interne, comme en externe
- Ajouter de la profondeur aux éléments graphiques en y ajoutant du contexte
Sources
https://blog.hubspot.fr/marketing/mission-vision-valeurs
https://www.youlovewords.com/content-marketing/brand-book/
https://www.lecoindesentrepreneurs.fr/definir-strategie-mission-vision-valeurs/#vision-de-l-entreprise
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mission_d%27entreprise#:~:text=Les%20principaux%20objectifs,-La%20mission%20d&text=La%20mission%20d’entreprise%20permet,Motiver
https://your-comics.com/fr/article/communication-valeurs-entreprise-109.html#:~:text=Les%20valeurs%20donnent%20un%20sens,les%20principes%20de%20l’entreprise.
Install Ecovacs Deebot into Jeedom
Doc for running Ecovacs Deebot vacuum cleaner robots with Jeedom
⚠️ Early Beta! This is not a good integration, it is a quick (and dirty) working solution to control the robot from Jeedom. There is no communication from the robot to Jeedom.
Tested on Jeedom 4.3.11, Raspbian Buster, DEEBOT OZMO 950 Series DX9G.
Library https://github.com/mrbungle64/ecovacs-deebot.js, thanks to Sascha
On the raspberry
sudo apt-get update
sudo apt-get install build-essential libcairo2-dev libpango1.0-dev libjpeg-dev libgif-dev librsvg2-dev nodejs
npm install node-machine-id ecovacs-deebot
sudo mkdir /var/scripts/
Download and move those 2 files: ozmo.js deebot.sh into /var/scripts/
On the raspberry
sudo chmod 755 /var/scripts/*
Into Jeedom
Install the Script plugin: https://market.jeedom.com/index.php?v=d&p=market_display&id=20
Then go to -> Plugins -> Programming -> Script -> Add
Set the robot name
In the new object go to -> Commands -> Add script command
And create all the robots commands. You can find all commands here: https://github.com/mrbungle64/ecovacs-deebot.js/wiki/Shortcut-functions
In the request field the syntax is:
/var/scripts/deebot.sh [your_username] [your_password] [robot_id] [command]
Example:
/var/scripts/deebot.sh my@email.org mypassword 0 clean
Robot id is 0 is you only have one.
Username and password are the same as the ecovac mobile app
On the dashboard
Recette de pain sans gluten style foccacia
Suite à une demande grandissante, voici la fameuse recette 😋
Ingrédients
Tous les ingrédients se trouvent en magasin bio.
- 300g de farine de riz blanc
- 8g de psyllium blond
- 1/2 cuillère à café de levure boulangère fraiche ou déshydratée sans gluten
- 8g d’huile d’olive
- 100g+200g d’eau tiède
- 6g de sel (gouter le mélange final avant cuisson et ajuster au besoin)
- 1 pincée de sucre
Actions
- Mélanger 100g d’eau tiède avec la levure et une pincée de sucre (agave, coco, canne…) et laisser reposer 10 mn
- Mélanger le sec ensemble : farine de riz + psyliulm blond + sel
- Mélanger l’eau tiède + levure + huile
- Mélanger l’ensemble qui devrait être une pate assez collante
- Mettre dans un plat
- Laisser reposer au moins 5h dans un endroit chaud et humide idéalement
- Enfourner au four à 200° pendant 1h, le dessus doit être bien doré
Variantes : ajouter des graines dedans (tournesol, lin, courges, noix…) / graines de pavot sur le dessus / épices à l’intérieur (curcuma, herbes de provences…).
Comment j’ai arrêté de fumer
J’ai été fumeur pendant plus de 20 ans. Je pense que j’ai toujours détesté fumer, mais cela n’a pas suffi à me faire arrêter.
J’ai commencé parce que les adultes autour de moi fumaient, pour faire comme les grands, pour me donner une contenance. Comme tous ceux qui commencent, je pensais pouvoir arrêter sans problème puisque c’est tellement infect et repoussant qu’on n’imagine pas devenir addict à une telle “pratique”. Puis la drogue s’installe sournoisement et elle finit par masquer temporairement, plus ou moins efficacement, un ou plusieurs manques que nous avons en nous. Le piège se referme et est bien en place. On arrive même a se persuader que l’on aime fumer. La cigarette compense en fait un manque mental qu’elle a elle-même créée.
Pendant toutes ces années j’ai donc contribué à m’abîmer la santé, celle des autres (regarder en image ce que donne une cigarette sur soi et pour l’entourage) et à entretenir et à encourager les personnes responsables de cela. Je leur ai donné plusieurs milliers d’euros! Si il y a environ 16 millions de fumeurs en France, on comprend bien pourquoi la vente n’est toujours pas interdite, au contraire, on augmente judicieusement (un peu, mais pas trop) les prix pour générer plus de revenus.
Imaginez un monde sans cigarette et qu’une société souhaite en vendre aujourd’hui. Lui laisserait-on proposer son poison en vente libre à tous les coins de rue ? Je ne le pense pas.
Soutenir un lobby bien en place, c’est un argument que je n’ai pas (beaucoup) trouvé dans mes lectures. Et pourtant, en achetant des cigarettes, vous entretenez votre dealer et vous lui permettez de continuer à empoisonner d’autres personnes. Si vous ne les achetez pas, ils n’ont produiront pas. C’est notre pouvoir.
Voilà ce qui semble avoir fonctionné le mieux pour moi : le dialogue avec l’inconscient/le cerveau émotionnel.
Il ne s’agit pas de résonner le cerveau logique, notre conscient sait très bien que fumer est mal et qu’il s’agit d’un puissant poison pour notre organisme. Le problème n’est donc pas l’esprit logique, mais l’attitude de l’inconscient qui réfléchit avec des émotions et des expériences.
Je ne sais plus qui le disait, mais la comparaison avec un enfant me semble évidente. Celui-ci agit avec instincts et émotions sans vraiment réfléchir et en oubliant les conséquences des ses actes, il vit dans le présent. L’inconscient est un peu comme cela lui aussi, il agit avec ses émotions, en direct et sans réfléchir.
Si, depuis plusieurs années, son fonctionnement est de résoudre un manque (créé par le tabac lui-même), alors faisons-le immédiatement et hop, allumons une cigarette en oubliant tout le reste, le problème est “résolu”.
Mais cela semble modifiable. Et comme avec un enfant, il va falloir le raisonner et lui démontrer que non, on peut faire différemment et qu’en plus ça va être vraiment mieux. Mais le dire une seule fois à cet enfant ne suffira certainement pas. Il va falloir, beaucoup, mais alors vraiment beaucooooooooooup le répéter. Certaines fois, et surtout au début, plusieurs fois par heure! Cet enfant va également mettre des stratégies en place pour nous forcer à assouvir son besoin et inventer tout un tas d’excuses qui sembleront très pertinentes, voir même créer des maux physiques. Comme des parents, il va falloir déjouer ces pièges et ne pas tomber dans le panneau!
Première chose à faire, lister les points positifs à l’arrêt du tabac.
Mettre en première position l’argument principal précis qui vous motive le plus (ex: récupérer une condition physique qui permettra de faire du sport et de ne plus déprimer).
Utiliser uniquement des formulations positives (et donc sans “ne” ou “pas”). Ex: Ne pas avoir mal au poumon = Avoir des poumons en très bonne santé et fonctionnant très bien.
Cette liste est indispensable, elle va devoir être relue à notre enfant inconscient beaucoup de fois. Il faut toujours l’avoir sur soi physiquement et garder en tête l’objectif principal.
Lire le livre Allen Carr, “The easy way to stop smoking” ou “La méthode simple pour en finir avec la cigarette”.
Dans tout ce que j’ai essayé, je ne sais pas vraiment ce qui a fonctionné le mieux puisque j’ai tout fait en même temps, mais je pense que le livre d’Allen Carr y est pour beaucoup.
Des millions de personnes ont arrêté avec ce livre et j’ai beaucoup d’amis qui en font partie. C’est peut-être le livre qui a sauvé le plus de vies sur Terre, c’est à ma connaissance l’outil le plus efficace pour l’arrêt du tabac. Je pense que l’on a tous les avantages à le lire à partir du moment où l’on fume, même rarement/occasionnellement.
Le mécanisme de la cigarette y est très bien décortiqué, il est une puissante remise en question du besoin de fumer.
Je pense l’avoir lu en entier au minimum 4 fois. Comme l’auteur le dit, les personnes qui n’ont pas arrêté avec cette méthode n’ont pas suivi les instructions, cela a bien été mon cas jusqu’à ma dernière lecture. La répétition est une des clés du succès.
Faire la méthode d’hypnose de Mike Fink.
Même si je ne sais pas si l’hypnose et les exercices de cette méthode ont fonctionné, on y trouve des arguments percutants qui complètent très bien ceux d’Allen Carr, Rien que pour cela, je pense que la méthode est utile.
Pour moi, le site Internet a vraiment une allure à vendre du vent, mais je suis content d’avoir dépassé cette première impression pour découvrir le programme. http://www.arreter-de-fumer.com/aws/
Consulter un hypnothérapeute ? Je ne sais pas si cela a pu jouer dans le processus. Lorsque je suis allé au RDV, j’avais déjà arrêté depuis plus de 24h (je n’en pouvais plus d’attendre d’arrêter de fumer), je ne me souviens pas très bien de la séance, mais il parait que c’est ça l’hypnose. Impossible de dire quel est le pourcentage de réussite dans cette expérience.
Aucun substitut. J’avais déjà essayé avec des gums, des patchs et les cigarettes électroniques.
Je connais de nombreux fumeurs qui sont passés à la cigarette électronique, mais peu voir aucun qui ont ensuite arrêté cette dernière. Le plus souvent, ils errent entre les deux.
Je connais des fumeurs qui ont arrêté avec des patchs, mais auraient-ils pu arrêter encore plus facilement sans ?
Pour ma part, les substituts servent surtout à ceux qui les produisent, la nicotine avait sur moi pour effet de continuer à entretenir la dépendance et donc la rechute.
Mes tentatives d’arrêt ont toutes été bénéfiques.
La première m’a permis de me rendre compte que oui, je pouvais rester en vie sans cigarette et que je cela n’allait pas être un supplice insupportable.
La deuxième m’a permis de me rendre compte que d’être persuadé du succès était impératif.
La troisième m’a permis d’apprendre à gérer la substitution d’une dépendance à une autre (ex: alcool).
Dans la quatrième et dernière, je ne peux pas dire que tout a été rose.
Les méthodes ont tendance à minimiser le challenge pour être rassurantes alors qu’il faut l’avouer, des fois ça va être assez dur, surtout en fonction des événements à gérer sur le plan émotionnel. Mais il faut bien garder en tête que :
– ce ne sont que des moments très passagers,
– cela ne dure que quelques minutes, faites autre chose et cela passera,
– les non-fumeurs vivent les mêmes situations et n’ont absolument pas besoin de cigarette.
Le premier mois était top, j’étais hyper content de ne plus fumer et donc de ne plus devoir m’empoisonner. Chaque fois que j’avais envie de fumer, je me remplissais de la joie de ne plus avoir à le faire.
Les deuxième et troisième mois ont été les “pires”. La joie s’estompe et l’enfant inconscient se fâche en réclamant plus fort sa dose.
Il faut tout contrôler/se priver (tabac, alcool, nourriture) et cela peut engendrer une frustration.
J’ai ressenti une dépression liée à cette frustration mais aussi à cause de la mise en évidence des manques que j’avais dans ma vie personnelle, des erreurs de constructions de ma personne. La cigarette permettait de les masquer un peu.
Évidemment, mettre à découvert ce genre de problème permet de travailler dessus beaucoup plus efficacement et donc de les corriger.
Je pense que l’on n’est pas tous égaux face à l’arrêt du tabac justement à cause de ces manques.
On a tendance à penser/juger qu’il s’agit juste d’un manque de volonté. J’ai pu arrêter et avoir une volonté inébranlable pour certaines choses et j’ai pourtant fumé sans plaisir avec le souhait ardent d’arrêter pendant plus de 20 ans!
La difficulté d’arrêt est peut-être liée à la profondeur de ces manques que nous tentons d’enfouir sous cette fumée.
J’évitais aussi les activités à risque (soirées amis/bar/alcool-clop).
Évidemment, faire du sport m’a beaucoup aidé, c’était même devenu un besoin.
Faire des infusions dans une boule à thé également. Plutôt que de boire du thé ou du café qui sont acides. Cela permet d’occuper ses mains en préparant puis la tète en ingurgitant quelque chose.
Je pense que la difficulté des 2 mois suivants le premier est que je n’arrivais pas à me convaincre du succès. J’avais comme palier plus ou moins conscient d’arriver à 3 mois pour être sûr que cette fois-ci, c’était vraiment fini.
Bien sûr, tout cela n’a pas duré et a bien fini par passer à la fin du troisième mois, il faut serrer les dents. :-)
Je connais beaucoup de fumeurs qui n’ont pas ressenti cette dépression et qui sont devenus des heureux non-fumeurs depuis leur premier jour d’arrêt, car depuis le premier jour, ils étaient absolument convaincus qu’ils ne fumeraient plus jamais.